Schéma de
l’organisation
de l’année
2013-2014
Une session mensuelle, de novembre 2013 à juin 2014.
Les dates : les samedis 9 novembre et 7 décembre 2013 ; 18 janvier, 1er février, 22 mars, 12 avril, 24 mai et 14 juin 2014.
Le lieu : Les Salons Mauduit, 10 rue Arsène Leloup, 44000 Nantes
Les enseignements ont lieu le samedi, de 9 h à 16 h (et jusqu’à 18 h lorsqu’il y a une conférence). Ils se répartissent entre le séminaire théorique, les séminaires d’élucidation des pratiques et séminaires de textes, les conférences. Une collation est proposée le midi, sur place, permettant les échanges entre participants et enseignants (pour celle-ci, une participation forfaitaire de 65 euros pour l’année est demandée).
Une présentation clinique a lieu une fois par mois, le mardi de 14 h à 16.h, à l’Hôpital St Jacques.
Le séminaire théorique
De 9 h à 11 h
Des enseignants proposent leur lecture du Séminaire VI, Le désir et son interprétation.
Lire le programme du séminaire théorique
Les séminaires d’élucidation des pratiques
De 11 h à 12 h et 13 h à 14 h
Comme pour les séminaires de textes, les participants sont répartis en plusieurs groupes.
Ce sont des séminaires d’entretiens sur la pratique, qui se déroulent à partir de séquences, de cas ou de points d’achoppements présentés par les participants ou les enseignants. Le thème de cette année les orientera.
Ces séminaires d’élucidation clinique s’intéressent bien sûr à la psychanalyse et aux différentes psychothérapies, mais aussi par exemple, aux pratiques des médecins, des infirmiers, des éducateurs, psychomotriciens, orthophonistes, assistants sociaux, enseignants, etc. Toutes peuvent relever d’un abord clinique, dans la mesure où elles ont affaire à des sujets : la clinique de la pratique, c’est la clinique des réponses que le sujet y apporte.
Poser que le sujet répond, plutôt que de dire qu’il réagit à la pratique, c’est d’abord mettre l’accent sur sa position, et en fin de compte sur sa position dans la structure : névrotique, perverse ou psychotique. C’est aussi, puisque toute réponse s’entend entre refus et consentement, en signifier la dimension éthique. Et enfin, c’est souligner que le sujet ne fait pas que mobiliser ses défenses, mais qu’il élabore des constructions et fait des trouvailles : la clinique authentique ne se résorbe pas dans le déficit.
L’élucidation des pratiques, à travers les séquences, les cas et les points d’achoppements présentés, vise la mise en lumière du sujet comme réponse. Il est permis d’espérer que du même coup la pratique en soit éclairée.
Les séminaires de textes
De 14 h à 16 h
À chaque séance, deux participants, aidés par un enseignant, posent une ou deux questions sur les textes proposés, et engagent une discussion. Comme pour les séminaires d’élucidation des pratiques, les participants sont répartis en plusieurs groupes.
Lire le programme du séminaire de textes.
Les conférences
Trois fois dans l’année, de 16 h à 18 h. Ce sont des conférences cliniques qui traiteront du thème de l’année.
En 2013-2014, nous recevrons Bruno de Halleux (Bruxelles), Jean-Robert Rabanel (Clermont-Ferrand), et Marie-Hélène Brousse (Paris).
Les présentations cliniques
Un mardi par mois, de 14 h à 16 h, à l’Hôpital St Jacques, à Nantes.
Une équipe soignante propose à un psychanalyste de rencontrer un malade.Qu’attendre de cette rencontre ? La surprise est souvent au rendez-vous. Pour le malade, c’est une occasion, rare, de venir témoigner de ce qui, pour lui, est un “impossible à supporter”. Pour l’équipe soignante, des éclairages nouveaux peuvent être apportés sur certaines butées que rencontre la prise en charge. De même, des questions concernant les modalités de la stratégie thérapeutique sont soulevées. Pour les participants et le psychanalyste, tout en se laissant enseigner par les propos du malade, ils peuvent chercher à se repérer au plus près de la structure.
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